par Nassera Metmati

Le 64ème Festival de Cannes attribue la palme d’or à Tree of Life du réalisateur américain Terrence Malick. Film très attendu par la critique et la presse plusieurs mois avant l’évènement et néanmoins partagé autant sur les avis qu’il suscite, la récompense reboute le système cinématographique à ces commencements.

D’aucuns dirons que le film suscitera sans doute des états d’âme: admiration sans borne pour les puristes de mise en scène grandiose-classicisme, rejet d’une vision de la vie, intellectuel, par delà lequel le cinéaste trace toute son intention dans une histoire aussi classique père fils, en premium au cours de cette édition cannoise.

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Grands sujets métaphysiques et questionnement sur l’origine, l’univers…Le cinéma aurait signé un pacte avec Dieu pour chercher à revenir à ce qu’il était à ses origines, au purisme d’un art qui chercherait à répondre à ses propres questions. Jugez…Qui est le juge? Croyez…A quoi croire? Le jury cannois se poserait ainsi, et encore, des questions émanant de ces désirs enfouis.

Terrence Malick a pris le temps, pris cannes à contre-temps de son histoire cinéma, comme elle fait souvent. Cannes fait repartir du tout à rien. La Moisson ramènerait le ciel dans la droite ligne de son cinéma. Finalement le cinéma tient là sa véritable récompense, d’une éternelle renaissance.